Toutes les peintures murales ne se valent pas en matière de santé. Certaines formulations peuvent provoquer des réactions allergiques, des irritations cutanées ou des gênes respiratoires, en particulier chez les personnes sensibles. Les principaux responsables sont les Composés Organiques Volatils (COV), présents dans les solvants, mais aussi certains conservateurs, plastifiants ou additifs chimiques utilisés pour améliorer la tenue ou la conservation du produit.
Lors de l’application et durant le séchage, ces substances peuvent être libérées dans l’air intérieur. Elles sont alors inhalées ou entrent en contact avec la peau, provoquant maux de tête, picotements des yeux, rougeurs, démangeaisons ou aggravation de pathologies existantes comme l’asthme, l’eczéma ou les allergies chroniques. Les enfants, les femmes enceintes et les personnes souffrant de sensibilités cutanées sont particulièrement exposés.
C’est pourquoi il est essentiel de choisir une peinture adaptée aux allergies, formulée pour préserver la qualité de l’air intérieur et limiter tout risque d’irritation, notamment dans les pièces de vie et les chambres.